Visu’elles opticien
Lunettes à prismes posturaux
Les lunettes à prismes posturaux
Les lunettes à prismes posturaux demandent une connaissance précise pour les mesures des verres optiques et le réglage de la monture sur votre visage. C’est pour cela que nous vous guiderons pour le choix de la monture et nous vous expliquerons les bonnes habitudes à avoir avec ces lunettes à prismes posturaux, qui sont spécifiques par rapport à des lunettes classiques.
Nous serons là pour vous tout au long de l’année pour vérifier que les lunettes soient toujours parfaitement positionnées sur votre visage. Un contrôle régulier est nécessaire pour les lunettes à prismes posturaux
Où prendre RDV?
Depuis plusieurs années, nous proposons des lunettes à prismes posturaux chez votre opticien Visu’elles. Les lunettes à prismes posturaux sont dédiés aux personnes atteintes de troubles proprioceptifs qui sont souvent en lien avec les personnes présentant un DYS (dyslexie, dysphasie, dyspraxie, dysorthographique, dyscalculie…
Les lunettes à prismes posturaux consistent à jouer sur les muscles obliques des yeux afin de pouvoir modifier la posture de la personne et la coordination des informations qu’elle perçoit.
C’est un traitement sur environ 4 ans , couplé le plus souvent avec le port de semelles orthopédiques. Nous travaillons en étroite collaboration avec des podologues spécialisés dans la proprioception.
« les informations auditives et visuelles sont mal utilisées par le cerveau et aboutissent à des troubles des apprentissages de type dyslexique ou dyspraxique, mais peut-être aussi de type dysphasique. La mauvaise localisation proprioceptive (de la main et des doigts), le mauvais contrôle de la motricité fine et la mauvaise localisation visuelle du tracé aboutissent à une dysgraphie.[…] La proprioception oculaire est portée par le nerf trijumeau qui véhicule aussi les informations provenant de la langue et des muqueuses de la bouche. Ainsi, lorsque la proprioception oculaire est anormale, le patient pourra avoir des signes particuliers au niveau de la bouche : malocclusion (le plus souvent les incisives supérieures en avant) avec mâchoire trop étroite, déglutition infantile, respiration buccale… Le plus ennuyeux est la présence d’hypopnées nocturnes liées en grande partie à un trouble du tonus de la langue et des muscles du pharynx. L’enfant a des nuits agitées, il est alors constamment fatigué et les enseignants constatent des troubles de la concentration. Au trouble dys va s’ajouter un trouble de Déficit de l’Attention (TDA) avec parfois Hyperactivité (TDAH)».